Les mauvaises nouvelles plus impactant que les bonnes
Les médias c’est le mal , et en plus ce n’est pas forcément de leur faute…C’est ça qui est fascinant en fait. Voici pour quoi :
Alors depuis maintenant 1 an on voit une véritable psychose autour du covid19, , sur lesquelles on entend tout et son contraire en même temps… et c’est normal.
Entre les différentes théories, les complots, les paranos, les menteurs et ceux qui se contre disent, ceux qui en profitent, on est perdu dans toute cette masse d’information.
On ne sait plus qui dit vrai.
Les scientifiques n’ont apparemment pas suffisamment de données pour le définir précisément même encore aujourd’hui.
Ils ne savent même pas d’où vient ce virus exactement ni de son origine, parce que la théorie du fait que cela pourrait venir de Chine à Wuhan est encore remise en question, puisque il y a pas mal de théories de sa provenance selon plusieurs chercheurs différents.
Comme toute nouveauté, elle fait la UNE…(même encore aujourd’hui)
C’est la première fois en France qu’on subit une crise sanitaire fusionnée avec une crise économique, c’est la pire depuis la seconde guerre mondiale.
C’est toute une nouveauté pour tout le monde. Il est donc normal d’avoir peur.
On est entrain de vivre de quelque chose de complément nouveau.
Les journalistes doivent bien faire des vues.
Pourquoi les médias sont focus sur les malheurs
Parce qu’il y a de la la DEMANDE.
Hé oui. Les mauvaises nouvelles font plus de vues selon les études. C’est un fait.
Une étude sur le mois de mars dans 6 pays, l’étude, menée par les agences de relations médias du réseau WIN PR Group, révèle quelques disparités selon les géographies mais la tendance globale est toujours en faveur de la mauvaise nouvelle.
Fidèle à la maxime selon laquelle : les trains qui arrivent à l’heure ne font pas la Une, les médias, à travers le monde, ont une forte inclination à privilégier les nouvelles négatives à celles plus légères et positives.
Justement parce que les gens aiment ça…
Pour ma part sa fait bien longtemps que j’ai arrêté les médias, ma seule source d’information externe ce sont les réseaux sociaux quand je navigue pour faire mes publications. C’est tout.
Je n’accorde aucune importance à l’information, car des accidents , des morts, des maladies, de la famine et de la misère en tout genre il y en n’a tous les jours depuis toujours à travers le monde. …
Alors pourquoi se faire du mal à rester devant ces informations négatives et se pourrir l’esprit à longueur de journée?
Il est prouvé que les informations négatives en tout genre attirent beaucoup plus et ont beaucoup plus d’impact sur notre cerveau …
Oui le malheur fait vendre! C’est triste et c’est ainsi.
C’est comme que les médias se font du fric et de l’audience.
Il faudrait en moyenne 10 bonnes nouvelles dans la journée pour effacer UNE seule mauvaise nouvelle.
Incroyable non?
Bref, ça va faire plusieurs années que j’ai arrêté les médias, de toute manière, si c’est la fin du monde ou si il y a des nouvelles mesures, je serais tenu au courant.
Ce que je te recommande pour le bien-être de ta santé mentale et pour avancer dans ta quête développement intérieur c’est de t’écarter des médias et de te tenir informer uniquement de l’essentiel : fin du monde, catastrophe naturelle, info essentielle pouvant t’impacter toi, ton entourage et ta famille sur lesquelles tu as le contrôle.
La famine, la misère du monde, les inégalités, le racisme, les guerres, c’est un fait, c’est réel. C’est une réalité.
Pourquoi les mauvaises nouvelles attirent tant
Le négatif est plus fort que le positif.
D’où nous vient cette fascination pour les catastrophes et autres mauvaises nouvelles ?
Serions-nous tous des voyeurs morbides ?
Cette curiosité malsaine est indissociable de la nature humaine.
Une mauvaise nouvelle l’emporte souvent sur 10 bonnes arrivées la même journée.
Pourquoi ne parle-t-on jamais des trains qui arrivent à l’heure ?
Pourquoi ne parle-t-on pas des actes héroïques des pompiers et des sauveteurs dans le monde?
À cause d’un biais cognitif, le biais de négativité, qui fausse nos appréciations.
Quand on arrive à s’en défaire, la vie devient beaucoup plus agréable.
Bien souvent, les mauvaises nouvelles ont beaucoup plus d’impact sur nous que les bonnes nouvelles.
Et même les critiques peuvent nous affecter bien plus que les compliments. Dans le livre Le cerveau de Bouddha, le neuroscientifique Rick Hanson propose une explication, qui a été approuvée par de nombreux autres chercheurs, sur l’origine du caractère évolutif de ce biais de négativité.
Pourquoi les mauvaises nouvelles attirent plus que les bonnes nouvelles
Selon le chercheur en neuroscience, ce biais de négativité est une conséquence de l’évolution par laquelle nos ancêtres ont appris à prendre des décisions intelligentes dans des situations à haut risque.
Ce sont ce genre de décisions qui leur ont permis de survivre assez longtemps pour garantir la relève. C’était une question de vie ou de mort.
Ainsi, les personnes qui vivaient en harmonie avec les événements potentiellement dangereux avaient plus de chances de survivre. Avec le temps, la structure du cerveau s’est adaptée très lentement pour accorder plus d’attention aux informations négatives qu’aux informations positives.
Différentes recherchent semblent convenir que ce biais de négativité se développe dans la petite enfance.
Au cours de la première année, l’attention des bébés passe des expressions faciales positives aux stimuli négatifs.
Le négatif est présent partout, car il attire
Il suffit de regarder autour de nous, tout est basé sur le négatif.
Les médias sont régulièrement accusés d’abreuver les masses de nouvelles dramatiques.
Mais si nous n’étions pas des consommateurs avides des informations qui font peur, ils cesseraient de les diffuser, au lieu de pratiquer cette surenchère permanente.
Michel Serres historien des sciences français., qui n’hésitait pas à parler « d’audimat de la mort » en observant que les nouvelles catastrophiques dominaient dans les 20 premières minutes des journaux radio et télé.
Si les chaînes d’information continue sont connues pour diffuser en boucle les nouvelles les plus angoissantes, la presse écrite n’y échappe pas.
Même chose sur les réseaux sociaux, qui relaient dans le monde entier et en un temps record les faits divers les plus sordides.
Luc Ferry ancien professeur de philosophie et ancien ministre de la Jeunesse, quant à lui, parle d’un « audimat de l’indignation » (le Figaro 30 janvier 2013) :
« Les démocraties favorisent quatre sentiments puissants qui irradient dans tout le peuple : la colère, la jalousie, la peur, et finalement l’indignation. Parce que ces passions sont les plus faciles et les plus universelles, parce qu’elles animent la « France d’en bas » comme celle « d’en haut », elles sont le premier et principal carburant de l’audimat ».
Tout cela pour le profit, pour l’argent. La peur et la négatif fait gagner de l’argent.
Le business du malheur fait vendre
Les médias c’est le pire des vices, parce qu’ils ont tendance à nous tromper et à détourner notre attention.
L’objectif des journaux ce n’est pas de nous informer de ce qui se passe dans le monde mais de créer un maximum d’audimat.
Pour cela, il faut pouvoir capter l’attention des téléspectateurs.
J’avais déjà traité ce sujet en vidéo (ici : https://youtu.be/CA2TesVfJgE) je disais que notre cerveau est davantage impacté par les mauvaises nouvelles que les bonnes nouvelles.
Si les médias nous parlent sans cesse du mal dans le monde, c’est bien parce qu’il y a une forte demande derrière.
Parce qu’avant tout, les gens sont davantage attiré par les mauvaises nouvelles.
A force d’être captivé par les informations médiatiques on se laisse manipulé et on pense que le monde s’arrête uniquement de ce qui est raconté à la télévision.
Pendant qu’on pleurniche des mauvaises nouvelles, le monde continue de tourner.
La vie ne s’arrête pas à notre télévision
La vie ne s’arrête pas à notre ville
La vie ne s’arrête pas à notre pays
La planète est constituée plus de 200 pays avec une population mondiale de plus de 7 milliards d’êtres humains.
C’est la raison pour laquelle ils vont privilégier les informations à forte sensation et toucher le côté émotionnel des personnes, c’est ainsi qu’ils vont créer un max d’audimat.
Chaque jour il y a un mort, mais aussi une naissance
A l’heure où j’écris ces lignes voici ce qui s’est passé dans le monde depuis le début de l’année ….
155 000 morts depuis le 1er janvier 2021 en France
3 millions de morts depuis le 1er janvier 2021 dans le monde
52 000 morts dans le monde suite à un meurtre et/ou homicide (soit plus de 500 par jour)
Mais aussi….plus de 22 millions de nouveaux nés dans le monde depuis le 1er janvier 2021.
La population mondiale atteint 7,63 milliards en janvier 2018.
Chaque jour, on compte 244.000 nouvelles personnes de plus dans le monde, soit + 2,7 par seconde (compteur).
Autrement dit, la population mondiale s’accroît chaque année de près de 89 millions d’habitants grâce à un nombre de naissances supérieur (150 millions) à celui des décès (61 millions).
Voilà ce qui arrive dans le monde.
Source : https://www.planetoscope.com/
Mais nous n’avons aucun contrôle là dessus. On ne peut pas être partout à la fois…On peut rien faire à notre niveau.
Alors pourquoi continuer à se bombarder d’info négative
Concentrons-nous plutôt à travailler sur soi pour être en bonne santé et attirer du bon vers soi, contribuons à un meilleur monde en étant exemple pour tous, faisons un travail sur nous au lieu de passer son temps à regarder ailleurs et c’est ainsi qu’on peux contribuer à un monde meilleur : de gens en meilleur santé, de gens qui s’inspirent de toi, des gens qui veulent s’en sortir…
Soyons les héros de notre entourage.
Soyons un exemple pour justement bâtir un meilleur monde.
Se focaliser sur soi ne veut pas dire croire que tout va bien, tomber dans le bisounoursé et ignorer la misère du monde, bien au contraire sa veut dire rester lucide et garder les pieds sur terre tout en étant conscient de ce qui se passe autour de nous.
Selon la science
Notre cerveau serait programmé pour la survie plus que pour le bonheur.
Paradoxalement, et contrairement aux idées reçues, les nombreuses expériences réalisées par des laboratoires de psychosociologie à travers le monde tendent à démontrer que c’est le public qui « programme » les médias et les poussent à diffuser des mauvaises nouvelles et non l’inverse.
D’après les scientifiques qui ont réalisé ces études, notre cerveau, programmé pour la survie (plus que pour le bonheur) contiendrait un « biais négatif » (negative brain bias) destiné à renforcer le système de mémorisation par le stress et l’émotion que nous ressentons en réaction aux mauvaises nouvelles, et la production d’hormones (adrénaline, cortisol, épinéphrine…) qui en découle.
Comme le confirment les travaux de Roy Baumeister et de Rick Hanson et la synthèse faite par Ray Williams dans « Psychology Today » (Is the media negative ? Why we love bad news more than good news ?):
« Nous cherchons constamment des informations négatives pour sur-réagir, et puis nous stockons ces réactions dans la structure du cerveau. Par exemple, on apprend plus vite de la douleur que du plaisir, et les interactions négatives ont plus d’impact. Notre cerveau fonctionne comme du velcro avec le mal, et du téflon avec le bien ».
Dans les études menées par le psychologue John Cacioppo sur le traitement neuronal du biais de négativité, il a été prouvé que la réponse du cerveau aux stimuli sensoriels, cognitifs et moteurs négatifs provoque une activation beaucoup plus importante que les événements positifs.
Surtout dans le cortex cérébral.
En conséquence de ce qui précède, aujourd’hui, ce biais de négativité nous incite et nous influence à nous concentrer sur le négatif qui nous entoure.
Cela semble aussi influencer grandement la motivation avec laquelle une tâche est accomplie.
Il serait curieux que nous soyons beaucoup plus motivés par une tâche qui consiste à éviter une expérience négative que motivés par une tâche lorsque le prix est une incitation positive.
Pour sa part, l’approche évolutive suggère qu’il s’agit simplement d’une tendance que nous avons pour éviter les dommages produits par les situations négatives.
Et que c’est uniquement un moyen par lequel notre cerveau essaie de nous maintenir en sécurité et protégés.
Les effets du biais de négativité sur notre vie
Il semble que ce biais de négativité nous ait aidés à survivre en tant qu’espèce.
Pourtant, en réalité, dans notre vie quotidienne, il produit des effets tout à fait indésirables.
Nous nous devons de les connaître.
En plus d’affecter notre prise de décision et les risques que nous sommes prêts à prendre, ce biais semble également avoir un impact important sur la façon dont nous percevons les autres.
Dans nos relations avec nos proches, cela peut nous amener à penser et à nous attendre au pire de la part des autres.
Le biais de négativité a des conséquences aussi disparates que celles qui nous rendent plus susceptibles de donner de la crédibilité aux nouvelles négatives qu’aux nouvelles positives.
Ce type de nouvelles non seulement attire beaucoup plus notre attention sur elles.
Mais nous leur donnons une plus grande validité, même si elles peuvent être fausses.
Cela affecte également nos valeurs et nos idéologies et semble être fortement lié à la tendance à s’accrocher à la tradition et à la sécurité face à des stimuli ambigus et à des changements qui peuvent être considérés comme menaçants.
Comme nous pouvons le constater, il est préférable pour nous de réfléchir à ce qu’est notre tendance dans la plupart des situations.
Il nous faut aussi tenir compte de l’existence du biais de négativité.
Surtout si nous voulons que nos décisions soient aussi appropriées que possible.
Notre éducation renforce le négatif au quotidien chaque jour
Depuis tout jeune, notre éducation et la société renforcent le négatif au quotidien.
Des recherches montrent qu’entre 0 et 17 ans, nous avons entendu 150 000 fois :
« Non tu ne peux pas »
« Non tu n’as pas le droit »
« Non ne touche pas à ça »
Et seulement 5000 fois…
« Oui tu peux »
« Oui vas-y »
« Oui c’est bien »
Soit 30 fois moins de positif que de négatif ! Journal télévisé de 20H : Ces 30 minutes quotidiennes bloquent-elles votre loi de l’attraction ?
Nous ne sommes pas habitués à être valorisé et soutenu pour mieux nous épanouir. Nous ne baignons pas assez dans une atmosphère sereine et empreinte de positif, de valeurs encourageantes. Par conséquent, il n’est pas étonnant qu’à l’âge adulte, de nombreuses personnes :
– Manquent de confiance en elles et ne réussissent pas ce qu’elles voudraient réussir,
– Se dévalorisent,
– S’auto-sabotent,
– Voir le mal partout (même quand il y en n’a pas)
– Se laissent dominer par leurs peurs
Nous somme programmé d’une façon négative votre système nerveux et vos pensées.
Ces raisons ont véritablement « câblé » certains réflexes inadaptés qui se répètent ensuite dans notre vie.
En se moment même…
Au moment où je viens de finir de rédiger cette publication, il y a déjà eu plus de dizaines de morts et de naissances ….
Au final, la mauvaise nouvelle c’est qu’on ne peut pas contrôler de ce qui se passe dans le monde.
Par contre, la bonne c’est qu’on peut avoir le contrôle de ce qu’on consomme et de ce qu’on pense chaque jour.
La bonne nouvelle aussi, c’est que les neuro-scientifiques ont aussi découvert qu’à tout âge et quelque soit notre situation, il est possible de les déprogrammer et de les remplacer par des habitudes plus positives (confiance en soi, bien-être intérieur, sérénité, …) !
Alors nous avons le choix entre subir la misère du monde où être l’acteur de sa vie.
Chaque détail compte. Tu sais ce qu’il te reste à faire.