Mes 5 trucs pour avoir un mental de guerrier

Mes 5 trucs pour avoir un mental de guerrier

On me demande très souvent comment je fais pour être auto-discipliné sans avoir quelqu’un sur mon dos, pour me motiver seul, sans encouragement et sans soutien externe, parfois même dans les situations stressantes.

Comment je fais pour rester régulier lors de mes séances d’entraînements physiques même quand je n’ai pas le moral ou quand la météo ni l’environnement ou les conditions ne sont pas au rendez-vous.

Comment je fais pour oser faire des choses?

Passer à l’action?

Prendre des décisions rapidement?

Depuis fort longtemps j’applique ces réflexes aux quotidiens pour renforcer mon mental.

Je vais te donner ici mes 5 habitudes que j’applique au quotidien de manière naturelle depuis plus de 10 ans maintenant.

Augmenter, entretenir, renforcer et croître son mental à toute épreuve.

Le mental est comme un muscle, plus tu adopteras des bons réflexes, plus ton mental grandira et se renforcera davantage.

Imagine-toi une vie avec un mental à toute épreuve là où les échecs ne seront qu’une formalité pour toi : Une vie bien plus épanouie, plus d’opportunité et agréable !

Une vie bien meilleure !

Une vie dans lequel tu pourras exploiter tout ton plein potentiel, fini la peur du regard des autres, fini les blocages externes qui empêche de passer à l’action…

Je te présente alors mes 5 réflexes du quotidien que j’adopte très régulièrement qui me permet d’entretenir et de renforcer mon mental toujours plus :

 

1) Rebondir après un échec

À chaque échec, peu importe ce que c’est.

Je fais en sorte de rebondir, de sauter plus haut après une chute, d’apprendre et d’en tirer leçon, puis recommencer et répéter jusqu’à réussir.

C’est ce que j’appelle rebondir après un échec (ou revenir plus fort après échec).

Je ne m’arrête jamais à un seul échec, j’essaye toujours encore et encore jusqu’à sa passe ou que sa marche !

Tu dois voir l’échec comme une opportunité de passer à un niveau supérieur et non comme un obstacle infranchissable à éviter.

Plus tu auras atteint un bon quota d’échec, plus tu en seras immunisé.

Si tu arrives à voir l’échec comme une source d’apprentissage, tu auras déjà fais un grand pas.

Autrement dit, j’ai pour habitude de ne pas m’arrêter à la première difficulté ni à un échec.

Je continue encore et encore jusqu’au que j’aurais grillé toute les options possible.

La plus grosse erreur que je peux entendre très souvent c’est d’avoir peur de perdre/peur de l’échec, au contraire.

2) Minimiser le confort

Lorsque j’ai un choix à faire, j’essaye de choisir le choix le moins facile et le moins confort possible.

J’évite la facilité dès que possible.

Ceci me permet grandement de travailler mon mental et de moins appréhender la difficulté.

Ce qui renforce naturellement et grandement mon moral.

Car, à force d’avoir du confort, cela fera effet inverse.

Par exemple entre choisir l’escalier et prendre l’ascenseur, je vais opter pour l’escalier.

À force de choisir l’option facile, on devient assisté et fébrile.

On évite la facilité au maximum quand on peut.

3) Dépendre que de soi

Quand je me retrouve dans une situation compliquée, je fais en sorte de me débrouiller seul sans aide extérieure.

En agissant ainsi, je prends l’habitude de me sortir seul de toute galère sans aide.

Le but est d’agir seul en automne le plus possible. Mon mental alors se porte très bien.

C’est pour quoi aujourd’hui j’ai l’habitude de ne dépendre que de moi-même et de ne rien d’attendre des autres du mieux possible.

J’ai ce réflexe de me botter le cul seul.

J’utilise également très peu d’outil externe telle que la musique, vidéo ou autre pour booster lors des séances de sports par exemple.

Ces outils là ne t’aident pas à renforcer ton mental.

Certes, la musique te motivera et te donnera l’énergie, mais au détriment du renforcement de ton mental.

Avec trop de confort et d’outil “boosteur”, ton moral ne peux pas être mis à l’épreuve et tu ne pourras pas progresser.

C’est justement avec de la difficulté que le mental se renforce de plus en plus.

On essaye de s’auto-booster seul comme on peut.

Aussi, par exemple lorsque j’ai un problème avec ma voiture, j’essaye de me débrouiller comme je peux, avant de faire appel toute suite aux copains mécano ou à papa-maman.

On se débrouille comme on peut, même dans les situations chiantes.

Cela renforce notre capacité de débrouillardise et à ne plus appréhender les galères improvisées.

4) Finir jusqu’au bout

J’ai ce réflexe également de toujours finir ce que j’ai commencé ou de ce que j’ai prévu au départ.

Particulièrement lors de mes séances d’entraînements. Peu importe l’intensité, la météo ou le nombre d’exercices et la durée.

Je finis toujours ce que j’ai planifié au départ même si cela peut me prendre jusqu’à 4h.

Quand tu pars du principe de toujours finir peu importe la situation : tu renforce ton mental sans t’en rendre compte.

Car tu n’abandonnes jamais ou très peu.

Cela devient une habitude de ne pas lâcher l’affaire et de tenir ses objectifs.

Si tu es le genre de personne à céder à chaque fois avant de finir quoi que ce soit, tu vas juste ramollir ton mental et régresser toujours plus.

Alors prends cette habitude de toujours finir ce que tu as commencé ou de ce que tu as planifié au départ.

5) Exploser mon potentiel dans les situations critiques (le dernier rempart)

Mon mental est mis à rude épreuve non pas lorsque je suis en pleine forme, en bonne situation ou en possession de tous mes moyens, non bien au contraire.

C’est dans les moments les plus difficiles et les plus extrêmes que ton mental en général sera mis à rude épreuve et qu’il se renforcera à fond.

Par exemple, lors d’un footing lent, éprouvant ET long.

Il est très fréquent pour beaucoup que c’est durant la dernière grande ligne droite l’étape la plus difficile :

Le coureur a fait 15 km et a seulement les derniers 200m il commence à être sérieusement essoufflé et dans sa tête il commence même à douter à se demander si faut s’arrêter ou non.

Et bien justement, c’est à ce moment-là que le mental joue un rôle important.

Enfaite si les gens galèrent souvent à la dernière ligne droite, souvent le souci n’est pas physique mais mental.

Pourquoi comme par hasard, c’est toujours à la dernière ligne droite qu’ils galèrent?

C’est à cet instant où justement, j’accélère mon rythme de course de plus en plus et me donne à + 200% de mes moyens.

Je force et me donne plus qu’à fond qu’au début lors des moments où c’est le plus difficile.

C’est pour quoi pour ma part, je rencontre rarement ce fameux problème de “dernière ligne droite = difficile”.

J’ai tellement pris l’habitude de forcer comme un fou dans les situations extrêmes que j’en suis devenu immunisé, c’est à dire un mental renforcé comme jamais. Aujourd’hui, je continue toujours d’agir ainsi.

J’ai toujours une citation en tête de David Laroche (coach en passage à l’action et en confiance en soi) “La clé de la réussite, c’est de continuer alors qu’on souhaite abandonner”

Conclusion:

Voici mes 5 réflexes que j’adopte dans la vie de tous les jours. Il faut donc comprendre qu’il ne faut jamais abandonner, ne rien lâcher et voir l’échec comme une leçon.

À  force d’échec, tu en seras totalement immunisé à force d’y faire face et à chaque chute tu en tireras en expérience tu sauras comment réagir à chaque fois et tu apprendras à connaître tes limites également.

Dis toi que si tu abandonnes maintenant, tu abandonneras le reste de ta vie.

Alors c’est maintenant ou jamais.

Adopte et pratique ces réflexes jour après jour jusqu’à que cela devienne instinctif et automatique.

A l’heure actuelle, je continue toujours d’appliquer ces 5 réflexes fondamentaux dans ma vie.

Pour moi le mental est aussi important que la santé.

Elle est une clé essentielle à la réussite de sa vie personnelle. Avoir un mental de fer, te servira dans tous les domaines de ta vie, sentimentale, familiale, pro, etc

Ce qu’il faut alors retenir, c’est que plus tu te met en galère, plus tu renforces ton mental.

Donc même si tu as l’impression d’être dans une situation compliquée pour rien, tu augmentes ton mental, alors n’abandonne jamais!

Bien évidemment, je n’applique pas toujours ces 5 habitudes, parfois j’en applique une, ou deux dans la journée ou même 3 ou parfois pas du tout, ça dépend des situations, des jours, et de mon niveau d’énergie.

Chaque détail compte tu sais ce qu’il te reste à faire.

Bruno KhmerZ

Je partage mon expérience et mes connaissances personnelles sur certains domaines comme le racisme anti-asiatique, la préparation physique & mentale. Tout ceci dans l'objectif d'aider à surmonter les difficultés de la vie du quotidien en société et y faire face. -> Mes réseaux

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