Le fléau de la pornographie selon la science

Le fléau de la pornographie selon la science

Tu es devant ton ordinateur, en train de travailler sur un document important pour le travail, sur un dossier pour l’école, sur une lettre de motivation, un CV, de la paperasse pour déclarer tes impôts ou je ne sais quoi d’autres du quotidien casse-tête…

Mais tu n’es pas concentré.

Tu es agité.

Tu relis 3 fois la même phrase ou tu n’arrives pas à aligner deux mots sur ta page blanche…

Et puis ça arrive.

Tu le ressens.

Tu ressens cette envie de regarder juste 2 -3 petites scènes de porno pour te détendre, oublier les petits soucis du quotidien, vite fait…

Ton corps le demande, mais aussi, et surtout, ton cerveau.

Le porno en ligne est un fléau.

Tu te connectes sur un des plusieurs sites de porno en ligne et tu te laisses aller…

Après l’éjaculation, après tout cet excès de stimuli sensoriels, tu te sens vide, sale et frustré.

Tu essayes de te remettre au travail, mais ton cerveau est lent, embrumé. Et physiquement tu te sens mou, même plus envie de t’entraîner ou alors pas assez motivé et entraînement bâclé.

Tu n’as plus aucune motivation !

Au lieu de canaliser ton énergie pour finir ton boulot, ton entraînement , tu as préféré « te vider » en regardant du porno.

Avant de lire ce document : Je rédige cet article non pas dans le but de juger ceux ou celles qui consomment du porno , puisque chacun est libre de faire ce qu’il veut de sa santé, de ses mains ou de son engin.

Mais uniquement dans un but d’apprentissage et de sensibilisation pour ceux et celles intéressées à passer à un niveau supérieur, comme souvent dans un cadre pédagogique dans un contexte de devenir une meilleure version de soi même, un Super AsiatiqueZ ou un Super humain, plus confiant, plus fort et plus développé mentalement aussi bien physiquement.

Cet article s’adresse donc surtout aux personnes désirant en savoir plus sur les côtés obscur et de ses effets dévastateurs et pourquoi pas devenir un Super AsiatiqueZ ou un Super HumainZ.

Ces images montrent le fléau de la pornographie (les chiffres) ainsi que l’IRM de cerveau d’addicts au porno.

Les images (IRM) montrent bien que la zone cérébrale responsable de la récompense est activée de façon anormale pendant qu’on regarde des scènes pornographiques, et que regarder ces scènes de plus en plus affecte le cerveau et l’épuise complètement comme c’est le cas des drogues et de l’alcool notamment…

Le porno, un business des plus rentables du web, chiffres choquants, le fléau de l’industrie pornographique dans le monde en chiffre :

Il y a près de 8 Français sur 10 qui consomment du X.

L’industrie du porno est un business à fort potentiel rentable et un des marchés du web plus discret à but très lucratif.

Peu en parlent, car cela est un sujet tabou dans certains pays et dans certaines cultures.

Mais les chiffres sur plusieurs années selon plusieurs études et statistiques du web et de la consommation du porno parlent d’eux mêmes:

En 2020, les sites pornographies figurent dans le TOP 15 des sites les plus visités au monde

– En 2016, 91,980,225,000.

C’est le nombre imprononçable du nombre de vidéos pornographiques vues sur le site de streaming Pornhub en 2016.

Soit 12 vidéos vues par chaque personne dans le monde, tous les jours. Des chiffres impressionnants qui révèlent l’énorme consommation des vidéos pornographiques dans le monde.

– 80% des ados qui ont eu accès à du contenu pornographique l’on fait via Internet. Les DVD, la télé ou les services de VOD ne représentent que 20% des pratiques. Les sites de streaming gratuits sont leaders sur le marché du porno consommé par les ados. Seuls 4% d’entre eux ont déjà payé pour avoir accès à un contenu.

– 2/3 des garçons ont déjà regardé un film porno à 17 ans, contre 1/3 des filles. La proportion de filles a doublé en 4 ans.

– 55% des ados trouvent qu’ils étaient trop jeunes quand ils ont vu un film pornographique pour la première fois. C’est un peu plus d’un sur deux, comme la statistique l’indique.

– 1 personne sur dix n’a jamais regardé de film porno, révélait un sondage Ifop réalisé en France en 2009. (3% d’hommes, 17% de femmes.) Parmi les 83% de femmes qui en ont déjà vu, 59% préfèrent le faire en couple plutôt que seules.

– À chaque seconde c’est des milliers de $ (3075 $ environ) est dépensé pour de la pornographie sur le Web.

– Chaque secondes c’est plus de 30 000 internautes regardent de la pornographie.

– Chaque seconde c’est plus de 300 internautes tapent des mots-clés de sites pour adultes dans les moteurs de recherche Internet.

– C’est plus de 35% du contenu téléchargé en ligne est du X

– 244.661.900. C’est le nombre de pages Internet à caractère pornographique émanant des USA (soit 89% du nombre total existant sur le Web). Le pays de l’Oncle Sam est aussi le plus gros producteur de vidéos X au monde, suivi par le Brésil et les Pays-Bas. La Suisse, elle, arrive au 15e rang, selon un classement du site www.toptenreviews.com.

– Le chiffre d’affaire de l’industrie du porno monte jusqu’à 50 milliard d’euros!

Voici les différents symptômes négatifs fréquents répertoriés par différents spécialistes (chercheurs, psy, …) :

– Rend impuissant et insensible
– Peut diminuer sa libido
– Donne une mauvaise image de l’homme et particulièrement de la femme
– A la recherche de la conquête en permanence. Jamais satisfait de ses relations
– Relation mal saine et incitation à l’infidélité
– Le plaisir solitaire incite à s’isoler de ses amis et de sa famille (problème de vie sociale)
– Manque d’énergie, baisse de morale, frustration
– Baisse d’estime de soi et perte de confiance en soi
– La pornographie et la masturbation compulsive mènent à l’addiction
– Laisse une image faussée des relations sexuelles réelles
– Insomnie, difficulté à avoir un sommeil de qualité et réparateur
– Insatisfait(e) de ses relations amoureuses, toujours à la recherche du meilleur partenaire.
– Divers troubles, comme l’érection (difficile à bander sans consommer de porno)
– Incite aux fantasmes extrêmes (et parfois irréalisable)
– Influence et impact négative sur nos goûts, nos jugements et nos choix en matière de goûts féminine et masculine
– Inaction, comportement passif (effet “mou”)

Cette liste et bien évidemment non complète, il y a encore de nombreux symptômes négatifs concernant la consommation du porno.

Comment le porno est destructeur :

Il est inutile de répéter ce que tout le monde sait déjà, c’est-à-dire que la pornographie existe depuis des siècles, mais jamais elle ne s’est généralisée autant comme aujourd’hui, jamais elle n’a été aussi variée et aussi abondante dans tous les sens.

Enfaite la pornographie existe depuis l’antiquité, par contre, elle n’a jamais elle n’a été banalisée et propagée aussi facilement dans le monde.

Ça ne date donc pas d’hier.

Ce n’est pas nouveau.

Surtout, depuis l’ère d’internet avec les dernières technologies, des réseaux sociaux et de la connexion à haute vitesse en illimitée.

Aujourd’hui, juste derrière son bureau avec un écran, on peut avoir accès un nombre quasi illimité d’œuvre X en tout genre, en passant par les catégories érotiques simples jusqu’aux extrêmes.

L’internet est plein de pornographie et on en trouve en grande quantité et variété, aussi bien gratuite que payante.

Un consommateur français pourrait très bien se procurer de la pornographie produite au Japon ou aux Philippines ou dans l’importe quel autre lieu du globe.

Par supermarché, il peut se la procurer avec une simple recherche sur n’importe quel moteur et avec quelques clics, dans le plus total des anonymats.

Il faut surtout dire que la pornographie virtuelle est accessible à tous.

Il n’existe pas de limite dans ce domaine et la possibilité qu’un internaute puisse communiquer avec tout autre accroît l’éventail des possibilités dans toutes les directions.

En même temps, les usages et les abus de la pornographie en ligne ont gagné toute sorte de plages et se sont poussés dans toutes les directions.

Désormais on est arrivé aux choses les plus extrêmes.

Alors, combien de personnes résistent à tout ceci?

Le problème n’est pas de condamner l’internet.

En fin de compte, il n’est autre chose qu’un moyen de communication, d’information et de distraction.

Le problème, très souvent, c’est notre libre arbitre. Tout dépend de lui.

C’est à nous qui incombe la décision de choisir à nos risques et périls, et le danger majeur sont justement nos faiblesses, le fait même que tu as ta dose à la portée de la main et qu’il te suffit d’un rien pour l’avoir sans que personne puisse s’en douter ou t’en l’empêcher.

Tu es le seul arbitre de ta destinée.

Même si tout ceci est théoriquement pour des adultes, pas tous les adultes savent vraiment ce qu’ils font.

La pornographie a le même effet sur les majeurs que sur les mineurs, la seule différence est que l’adulte peut légalement choisir et le mineur ne le pourrait pas. Les dommages sont quasi les mêmes.

Quels dommages à long terme :

En considérant tout ceci, il surgit une question aussi fondamentale qu’évidente: la pornographie est-elle mauvaise?

Procédons par ordre.

La société bien qu’elle condamne la pornographie.

Certains soutiennent qu’il s’agit d’un vice, d’autres qu’il s’agit d’une chose immorale et insane.

En ligne générale, la morale sociale n’est pas favorable.

Mais la différence est que nous la condamnons pour des raisons logiques, pas moralistes.

Nous soutenons en effet que la pornographie avec masturbation, c’est une tue la libido par excellence.

Ce n’est pas la même chose qu’avoir tous les jours des rapports sexuels avec la même femme ou avec plusieurs femmes.

Certes, voir de la pornographie occasionnellement peut incrémenter le désir, mais consommer ce désir en concentrant la vue sur des images ou des vidéos produit le même effet que l’accoutumance aux médicaments et aux drogues.

L’esprit est un grand réservoir de fantasmes ; quand ces fantasmes cessent de s’alimenter à cause d’un substitut, d’un subrogé artificiel, l’esprit se sature tout purement.

Une personne imbibée de pornographie, habituée à en voir de toutes les sortes, finira inévitablement par prendre tout ceci en ennui.

Le résultat sera un manque progressif d’intérêt sexuel, l’indifférence croissante envers les stimulus sexuels, le manque d’une excitation adéquate et la perte conséquente de désir.

Bien sûr, il ne s’agit pas d’effets à court terme.

Mais ils arrivent à la fin, c’est inévitable.

Place deux individus devant une femme nue qui les attend, le premier fatigué, désenchanté, blasé de pornographie, le deuxième qui en est complètement à jeûne.

C’est garanti que le dernier des deux s’excitera le plus, aura un meilleur rapport et appréciera davantage ce qu’il fera et ce qu’il aura.

On ne parle pas beaucoup de ces choses, surtout sur internet, parce qu’elles sont totalement contre-courant.

Si on se base sur les chiffes, le sexe sur internet constitue une grosse tranche de marché et il y a un grand nombre de sites, même des sites qui n’ont rien à voir avec la pornographie, qui ont des intérêts directs ou indirects avec elle.

Puisque la pornographie est l’une des choses les plus recherchées sur internet, c’est naturel que n’importe quel site aurait de plus grosses chances de se faire connaître par ces canaux.

Naturellement, certains sites n’auront jamais de relation avec l’argument, et cependant les intérêts en jeu continuent à être beaucoup. En particulier, il est très douteux qu’un site ayant quelque relation avec le sexe ait des intérêts à affronter l’argument d’une manière appropriée.

Tout ceci semble évident, mais ce n’est que trop vrai.

L’étude sur les vices de l’industrie pornographie sur notre santé mentale ou physique :

Plusieurs études scientifiques confirment les effets néfastes du porno

Étude n°1: Causes et impuissance sexuelle

Trop de porno tue le désir.

C’est en tout cas, la conclusion des médecins qui assistaient au 112e congrès annuel américain d’urologie.

C’est au cours de cette rencontre entre les spécialiste du fonctionnement de l’organe génital qu’ils ont pu prendre connaissance des résultats d’une étude menée par une équipe de chercheurs de San Diego (Californie) auprès de 312 hommes afin de vérifier le lien entre pornographie et libido.

En effet, parmi cet échantillon, dont les 3 quarts consomment régulièrement du porno, une part importante se plaint de troubles de l’érection.

Or l’ensemble de l’échantillon est constituée de personnes âgées de 20 à 40 ans, donc peu suspectes de subir ces désagréments pour cause de perte de vigueur.

Et l’échantillon présente aussi un pourcentage qui peut paraitre faible mais qui n’en est pas moins inquiétant: 3,4% des hommes interrogés admettent préférer une séance de masturbation devant un film X qu’un rapport sexuel.

Ces chiffres viennent se rajouter à ce que l’on sait déjà sur le porno, et notamment sur sa forte capacité stimulante sur notre fonctionnement cérébral.

Avec à terme, non seulement le risque d’une dépendance à la pornographie, avec des cas de surconsommation, mais aussi un désintérêt pour la sexualité réelle qui, du fait de pratiques plus “conventionnelles” de ce que peut montrer une vidéo X, ne procure pas une dose d’excitation suffisante pour être considérée comme satisfaisante.

En cas de problèmes érectiles alors qu’aucun dysfonctionnement physique ne peut l’expliquer, la seule manière de retrouver progressivement ses fonctions passe par un sevrage de l’addiction, lance les chercheurs.

Étude n°2: Les effets du porno et dopamine dans le cerveau

Plusieurs dizaines d’études scientifiques confirment que les dommages causés par les scènes sexuelles érotiques sont similaires à ceux causés par l’addiction aux drogues et à l’alcool, plus dangereuses même puisqu’elles endommagent des parties importantes du cerveau.

Dans une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université de Cambridge, on a découvert que le cerveau de la personne qui regarde les interdits, en particulier les scènes pornographiques se comporte comme le cerveau d’un toxicomane ou d’un alcoolique.

Cette étude est la première en son genre dans l’année 2013, les scientifiques ont utilisé la technique de l’imagerie par résonance magnétique (IRM) de cerveaux d’un groupe de jeunes gens accros aux films pornos, les résultats de l’étude ont surpris les scientifiques : les scènes pornos présentent un réel danger ! Cesser de regarder ces scènes s’impose donc impérativement.

Le Dr Valerie Voon déclare ‘’on a enregistré une activité considérable dans la zone du cerveau appelée le striatum ventral, une zone responsable de la récompense, de la motivation et du bonheur”

Les images (IRM) montrent bien que la zone cérébrale responsable de la récompense est activée de façon anormale pendant qu’on regarde des scènes pornographiques, et que regarder ces scènes de plus en plus affecte le cerveau et l’épuise complètement comme c’est le cas des drogues et de d’alcool.

Chaque seconde, on enregistre plus de plusieurs milliers visites des sites pornographiques sur Internet, et le problème est que un tiers de ce nombre est composé de femmes.

Ce phénomène affecte le cerveau d’une façon négative ; une fois qu’on regarde une scène de sexe, la sécrétion de la testostérone augmente immédiatement ainsi que la dopamine et l’ocytocine inondant le cerveau pour provoquer un épuisement de ses systèmes de fonctionnement et perturber les opérations de mémorisation et d’apprentissage.

Le dommage d’une partie importante des cellules du cerveau est éventuel !

La sécrétion de dopamine en abondance par le cerveau pendant qu’on regarde des scènes de sexe, épuise le cerveau, en particulier la zone frontale du cerveau (la mèche), cette région étant importante dans la prise de décision et est similaire à des freins de voiture : imaginons-nous au volant d’une voiture avec des freins défectueux, la survenue d’accident reste sans doute probable.

Cette zone possède des voies connectées à la zone de récompense dans le cerveau et est donc influencée en regardant des films de sexe, et par conséquent nos décisions et nos aptitude à nous contrôler s’influent également.

La dopamine étant vitale pour se sentir heureux.

Cette substance sécrétée par le cerveau, nous fait sentir le bonheur lorsqu’on gagne de l’argent ou quand on accomplit une œuvre importante et satisfaisante pour nous.

Lorsque le cerveau devient accro à regarder les scènes sexuelles, la sécrétion de la dopamine augmente, mais après un moment les cellules qui sécrètent la dopamine se fatiguent, leur sécrétion diminue et elles s’atrophient progressivement..

La personne ne se sent plus heureuse comme auparavant, cherchant d’autres moyens plus excitants (comme un toxicomane) et donc le dommage des cellules augmente…

C’est un véritable processus de destruction !

Les dommages s’étendent à la zone frontale du cerveau qui se heurte avec le temps, se dégradant progressivement et perdant ainsi l’aptitude à prendre la bonne décision.

D’autres études antérieures ont prouvé que la toxicomanie cause des dommages à la région frontale du cerveau, et il a été observé que les toxicomanes et alcooliques souffrent de retrait de leurs zones frontales du cerveau ce qui fait perdre le contrôle de leurs actions.

Par conséquent, la dépendance à regarder des femmes sexy aura le même effet sur le cerveau et peut-être plus, mais souvent, les gens n’ont pas conscience de l’ampleur de ces dommages que trop tard.

Le Docteur neurologue Eric Nestle, confirme que la toxicomanie affecte le cerveau en faisant reconstituer le cerveau de la mauvaise manière.

Quant au Dr Norman Doidge, il cite dans son livre intitulé « Le cerveau qui change soi-même » que les scènes pornographiques provoquent des changements graves dans le cerveau, amenant ceux qui la regardent à un état d’alerte permanent et à une dépendance à voir ces scènes sans raison, de sorte qu’ils se déplacent de scène à autre sans s’arrêter …

Et augmente la probabilité de perpétration de l’acte obscène très probablement.

La question n’est pas le simple fait de regarder.

Autrement dit, la question n’est pas seulement regarder ces scènes, mais cela pourrait se développer à un viol, par exemple, et c’est ce qui arrive souvent avec les accros aux films pornographiques comme le confirment les études.

L’ocytocine responsable de la confiance entre les humains, sécrétée en abondance quand on regarde en excès des scènes pornographiques, cette substance étant responsable de la confiance entre le couple, et au cours de la dépendance à des scènes de sexe se constitue le soi-disant l’amour virtuel, se produit un déséquilibre de la sécrétion de cette substance et de certaines hormones.

En conséquence, sa vie sociale s’affecte, sa vie émotionnelle s’effondre, et dans ce sens il y a des études qui confirment que les films pornographiques sont en partie responsables ou du moins pourrait contribuer d’un grand nombre de problèmes conjugaux et de la violence domestique.


Il existe bien évidemment d’autres études qui confirment le déséquilibre de la dopamine du cerveau du à la consommation du porno.

Étude n°3 : Problème d’érection chez l’homme

Atlantico : Selon une étude effectuée par le Naval Medical Center de San Diego, l’abus de pornographie aurait des conséquences néfastes sur la sexualité.

Selon les travaux de Dr. Matthew Christman, le porno aurait un impact important sur la santé psycho-sexuelle des hommes qui en abusent.

Comment expliquer ce lien?

Pourquoi les femmes sont-elles moins concernées par ce phénomène?

Voici l’extrait d’une interview :

Alexis Rapin, psychiatre et sexologue : Les dégâts de la pornographie ne sont pas une chose nouvelle qu’on apprendrait aujourd’hui au travers de cette étude.

On le constate déjà depuis très longtemps dans nos consultations.

La pornographie ou le porno c’est une sexualité génitalement explicite scénarisée.

Du grand cinéma qui utilise un langage et des codes précis !

Tout est fait pour coller aux fantasmes les plus variés destinés à un public à prédominance masculine et majoritairement fait par des hommes.

Le problème que l’on constate, c’est une généralisation de l’utilisation de ce type de contenu comme source d’excitation sexuelle chez nos patients, et ce depuis très jeune (début du collège).

Les codes d’attraction sexuelle (ou fantasmes) apparaissent au moment de la puberté lors des premières masturbations.

Ce sont des codifications intellectuelles qui déclenchent et entretiennent une excitation génitale.

Le problème de la pornographie n’est pas le support en tant que tel, mais plutôt l’utilisation qu’en fait son consommateur.

C’est la multiplication et la variété des images et des vidéos avec une tendance à passer très rapidement d’un contenu à un autre pour maintenir une excitation sexuelle qui pose problème.

Cette escalade de consommation peut déboucher sur un mode de recours exclusif un peu comme une sorte de dépendance.

Pour le cerveau humain plus la notion de plaisir, donc de récompense, est rapide, plus il va chercher à reproduire le comportement qui en est à l’origine. On peut ainsi basculer rapidement dans la compulsion voire l’addiction.

C’est le même principe dans les addictions aux substances.

En contrepartie, comme les consommateurs de drogues, les personnes qui utilisent de la pornographie de façon assidue peuvent développer une sorte de tolérance envers le contenu qu’ils consomment les amenant à repousser les limites vers du plus excitant.

Ils vont ainsi sur des registres de plus en plus limitatifs voire exclusifs.

La réalité est alors souvent bien insipide pour ces personnes, celle-ci ne s’y retrouvant plus entre leur imaginaire sexuel et la réalité de leurs codes d’attraction sexuelle.

Les femmes sont moins impactées dans leur sexualité par ce type de contenu, car d’abord, elles en sont moins consommatrices, et ensuite elles restent fonctionnelles sur le plan sexuel même si leur désir sexuel peut être moins présent ou que leur partenaire ne correspond pas à leur fantasme…

Enfin, le besoin à combler dans la sexualité entre un homme et une femme peut être différent.

Beaucoup d’hommes souffrent d’une addiction à la pornographie (et la grande plupart d’entre eux ne se rendent pas compte)

Pourquoi les hommes en particulier?

Parce qu’ils sont visuels.

Ils sont VISUELS.

C’est scientifique.

Le cerveau « sexuel » de l’homme fonctionne comme un interrupteur : il voit une belle femme, il est excité !

Au lit les hommes aiment les positions où ils peuvent admirer le corps et les formes de la femme.

Ils n’aiment pas faire l’amour au noir sous la couette.

C’est pour ça que la position de missionnaire est la moins populaire et jugée ennuyeuse.

C’est pour ça aussi que les hommes raffolent de la position de la levrette.

Les femmes, elles, fonctionnent plus comme un variateur de lumière.

Quand elles voient un homme fort attirant, son cerveau n’est pas engagé sexuellement tout de suite ; d’autres paramètres entrent en jeu qui feront que son attirance sexuelle pour cet homme augmentera au fur et à mesure, jusqu’à atteindre son paroxysme.

Les femmes donc sont très souvent plus émotionnelles que visuelles.

C’est la raison pour laquelle, souvent, elle préfèrent glisser sous la couette, ou éteindre les lumières quand elles font l’amour.

(Certaines le font aussi parce qu’elles sont complexées par leur corps, surtout quand c’est la première fois avec un nouveau partenaire).

C’est donc ce côté voyeur et visuel des hommes qui explique leur addiction à la pornographie.

Ils sont la proie parfaite.

Les résultats de ces travaux émettent l’hypothèse que la pornographie pourrait être une des explications quant aux troubles de l’érection chez les hommes.

Quel danger cela représente-t-il pour les partenaires réels?

Alexis Rapin : Les troubles érectiles des consommateurs de porno sont de plusieurs ordres : des codes d’attractions sexuelles incongrues entre l’imaginaire sexuel et la réalité, généralement à registre plutôt exclusif (mon excitation n’est pas stimulée dans la réalité par rapport à ce que je vais chercher dans mes fantasmes).

Egalement les troubles érectiles peuvent être liés à des modes d’excitation limitatifs non reproductibles avec un partenaire ainsi qu’à une anxiété de performance.

Imaginez la pression qu’a un jeune homme face à sa/son partenaire en se comparant avec les performers qu’il visualise dans les vidéos.

Cela créé des distorsions cognitives et sexuelles très importantes !

Le danger est qu’on arrive à des pratiques extrêmes, en oubliant le respect de soi et de l’autre, ou aller même jusqu’à des situations de prises de risques ou d’abus sexuels. A l’inverse, un trouble du désir sexuel et des dysfonctions érectiles vont impacter le couple et pourront aller à terme jusqu’à une séparation.

Est-il possible de soigner une addiction à la pornographie?

Alexis Rapin : Oui, il existe des prises en charge spécifiques autour de l’addiction à la pornographie.

Il faut savoir qu’une addiction sexuelle en général, est tout sauf d’ordre sexuel !

Ce qui rend ce trouble accessible à toute prise en charge psychothérapique voire très rarement, médicamenteuse. Il s’agit d’une addiction comportementale qui relève d’une prise en charge psychiatrique spécifique.

Enfin, pour donner un aperçu de la prise en charge de ces troubles, et selon leur gravité,

Il existe des outils spécifiques issus des thérapies cognitivo-comportementales, ou des techniques plus modernes que sont les nouvelles formes de psychothérapies (Hypnose, EMDR ou Brainspot-ting).

Étude n°4 : Les femmes et les hommes égaux face au porno

Selon une étude, hommes et femmes sont cérébralement égaux face au porno

Une idée reçue et largement répandue veut que les hommes sont bien plus amateurs de pornographie que les femmes.

Une récente étude scientifique va peut-être permettre de déconstruire ce cliché : le cerveau des femmes réagirait de la même manière que celui des hommes face aux images érotiques.

Si les différences et les disparités sont encore nombreuses entre les hommes et les femmes, il existe un terrain sur lequel nous sommes égaux : la réaction cérébrale aux images pornographiques.

C’est en tous cas ce qu’affirme une récente étude scientifique, publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Science.

Conduite notamment par Dr. Hamid Noori, elle réfute l’idée selon laquelle les hommes aiment la pornographie et les femmes la fuient.

Après avoir passé au crible 61 études menées sur 1.850 adultes de différentes orientations sexuelles, les scientifiques affirment en effet que “contrairement à une idée largement répandue, la réponse neuronale à des stimulis sexuels visuels est indépendante du sexe biologique”.

Les chercheurs sont formels : face à des images à caractère pornographique, les mêmes régions du cerveau sont activées, que l’on soit un homme ou une femme.

Et pour cause : les régions stimulées sont celles qui régissent “la gestion des émotions, de la décision mais aussi des circuits de la récompense”.

Autrement dit, pas vraiment des zones cérébrales qui touchent de près ou de loin à la notion de genre.

Une différence d’ordre social

Comme le soulignent les scientifiques, si le cerveau des hommes et celui des femmes réagit biologiquement de façon similaire aux stimuli érotiques visuels, il serait cependant faux d’affirmer que les hommes et femmes sont égaux face au porno.

Mais selon les chercheurs, l’origine de la différence de consommation d’images pornographiques serait plutôt d’ordre social.

Les solutions pour stopper le porno :

Comment s’en sortir?

Comment arrêter le porno et sortir de cette spirale négative?

Tu l’as compris, regarder du porno a des effets dévastateurs sur ton corps et ton esprit.

Tu veux arrêter. Oui mais comment ?

La réponse simple, et c’est que j’aime, c’est justement faire simple : décider d’arrêter.

Tout simplement.

Et pour décider d’arrêter, il faut en prendre conscience d’être addict au porno, puis secondo prendre connaissance de l’envers du décor du porno et de ses effets dévastateurs (chose que tu es probablement entrain de faire si tu as lu l’article jusqu’ici, et je te félicite!)

Il faut cultiver ta force de volonté.

Mais en réalité, ce n’est pas si simple.

Éradiquer une habitude et une addiction ne se fait pas du jour au lendemain.

Essaye, si tu réussis, c’est tout en ton honneur.

Sinon, il faudra passer par un processus un peu plus long.

Il faut que tu sois donc engagé dans ta convalescence.

La route de la convalescence est un long processus.

Diminue le temps passé à regarder du porno.

Si tu regardes du porno tous les jours, commence par le faire un jour sur deux, par exemple.

Quand tu ne ressens plus le besoin d’en visionner tous les jours, commence à réduire encore plus, 1 ou 2 fois par semaine par exemple.

Continue ainsi jusqu’à ne plus te mettre devant ton ordi dans le noir qu’une fois par mois… jusqu’à l’arrêt définitif.

Sache que cette phase peut durer longtemps. Ce n’est pas grave.

Fais-le à ton rythme. Cela ne veut pas dire qu’il faut te laisser aller. Loin de là.

Il faut que tu fasses l’effort de limiter ton activité.

Ne te culpabilise plus. Tu as une addiction, tu le sais.

Tu sais aussi que tu t’es engagé à t’en sortir et que le chemin sera long.

Tu sais SURTOUT que, à des moments donnés, tu vas rechuter. Ce n’est pas grave. C’est même normal. Tu te relèves et tu continues. Ne te culpabilise pas.

Toutefois il faut que tu sois vraiment engagé dans ta convalescence, sinon tu ne te relèveras pas des petites rechutes, au risque de sombrer encore plus profondément qu’au début.

Se masturber sans le porno pour commencer aussi, c’est une bonne solution.

Quand tu ressens l’envie de te masturber, et avant de commencer à taper comme un taré sur ton clavier à la recherche de la scène parfaite, essaye de te vider sans rien regarder.

Cette étape est très importante, puisque tu vas commencer à reconditionner ton cerveau à réagir sans la stimulation artificielle.

Tu vas sûrement imaginer, dans ta tête, des passages de tes scènes préférées. C’est bien.

Tu commences à retravailler ton imagination pour stimuler ton cerveau.
Cette étape survient quand tu as déjà passé un bon cap dans la diminution de visionnage de porno, expliquée plus haut.

Le but étant de ne plus imaginer tes scènes préférées en te masturbant, mais de revivre, dans ta tête, les moments torrides que tu as vécus avec ta dernière conquête ou ta copine.

La masturbation est-elle dangereuse ou bénéfique ?

Il y a plein d’avis différents à ce sujet.

Il y a ceux qui ne se masturbent plus et qui se sentent mieux que jamais.
D’autres prônent la modération. Personnellement, je pense qu’il ne faut pas aller aux extrêmes.

La masturbation n’est pas mauvaise, si elle est pratiquée de temps en temps histoire de “dépanner” – parfois se masturber fait du bien et tu ressors beaucoup de tension, surtout si tu n’as pas de copine ou si tu n’as pas de rapports sexuels réguliers.

Cherche de l’aide en ligne.

Tu es peut-être tombé sur cet article en recherchant, en ligne, des solutions à ton problème. C’est déjà un bon pas. Il existe des forums et des ressources en ligne qui peuvent t’aider dans ta convalescence.

Je te conseille les sites suivants :

Stopfap.org : c’est un forum où tu pourras échanger avec d’autres personnes qui souffrent comme toi. Et ils proposent le No Fap Challenge, qui est un défi pour ne plus se branler, d’après leur très joli slogan: “Moins de branleurs pour un monde meilleur”.

Ton cerveau dans le porno : C’est une mine d’infos concernant le porno et l’addiction avec des liens vers d’autres ressources. Il y a aussi un forum actif.

Pour te faire aider et commencer à mettre en place le sevrage du porno , je te conseil de consulter ce site qui traite bien le sujet https://stopporn.fr/ site crée par un ancien addict au porno.

– Ferme ton ordinateur, sors plus souvent et trouve-toi une nouvelle activité. Ne reste pas cloîtré chez toi, avachi devant ton écran. C’est la meilleure façon pour s’ennuyer et de rechuter. Ferme ton ordi et sors dans la vraie vie. Prends un bouquin et va lire dans un café. Va faire une balade pleine nature, bref occupe toi comme tu peux.
Commence une nouvelle activité, un nouveau sport par exemple. Comment supprimer une mauvaise habitude

C’est le moment idéal de commencer la musculation ou le développement physique.

Tu vas te pousser physiquement (tu sentiras moins le besoin de regarder du porno après une bonne séance de musculation), tu apprendras la discipline, tu auras plus de testostérone et tu seras plus attirant aux yeux des femmes. De plus, cela va impacter ton mental, tu auras plus confiance en toi.

Que veux tu de mieux ?

Ça te fera du bien, et, en plus, tu vas rencontrer des filles (ou des garçons si tu es une fille) et accélérer ton processus de guérison.

Le but c’est de t’occuper et occuper ton cerveau pour s’éloigner de la source de ton addiction.

La disponibilité, gratuitement, du porno en ligne a créé une addiction universelle à la pornographie.

Ce n’est pas un hasard que l’homme moderne manque de testostérone, de virilité et de masculinité. Selon une étude, l’Homme surtout “l’homme” s’affaiblit de plus en plus.

L’homme moderne n’est autre qu’une parodie de la masculinité. C’est une réalité.

Si tu souffres de ce fléau, fais le nécessaire pour reprendre ta vie en main (sans jeu de mots).

Les divers témoignages d’addict à la pornographie :

Voici les témoignages de personnes qui sont en sevrage ou se sentent concernées par l’addiction.

Danie Carther :
La video me parle globalement parceque j ai perdu la motivation mele de travaillé ma vie amoureuse aussi a pris un coup et ma passion du desdin a ete banamiser a tel poin t que j en suis venu a douté de ma sexualité c est bizzard oui

l Ga :
J’me suis tellement masturber que même après avoir coucher avec une fille je dois le faire pour me sentir à l’aise. ߙˆ je sais que je suis pas le seul heureusement

Herve Choko :
Je suis d’accord mais je pense que seuls les sites porno ne suffisent pas . De nos jours , plusieurs réseaux sociaux poussent ou incitent à la masturbation comme Instagram, Snapchat , tinder … . ces sites ont tendance de montrer la nudité de la femme , des crosses fesses , des twerks, des gros seins , des hommes avec des abdominaux bref vous connaissez la suite .

Pour conclure, mon cas étant aussi un ancien addict à la pornographie :
Ce qui est sûr et certains c’est que la pornographie est un business rentable, et n’a pas pour but d’éducation mais pour vendre.

C’est un business ultra lucratif et sans le but de rendre le consommateur addict et de consommer toujours plus. Elle n’a pas non plus, le but d’éveillé, de te rendre réellement épanouir mais juste le but de t’inciter à consommer.

J’ai stoppé le porno DÉFINITIVEMENT, à ce jour 0 vidéos mal saine, 0 images mal saine en rapport avec le porno depuis maintenant plus de 7 années consécutives (un record personnel…).

Ça a été un chemin très très long, difficile, éprouvant, j’ai rechuté une centaine de fois…

Mais j’ai finalement réussi. Si j’ai réussi, tu peux réussir aussi.

Et je me porte beaucoup mieux en terme d’effet positif au niveau santé psychique et physique.

De mon humble avis, je te recommande de stopper le porno si tu cherches un réel épanouissement personnel, de développement de soi, et de te sentir réellement plus libre.

L’arrêt du porno n’est pas évident et pas facile à mettre en place, ceci est tellement répandu comme la peste que cela s’est “normalisé”.

Et il n’est pas évident non plus d’assumer sa propre consommation aux pornos !

Je te félicite d’avoir lu cet article jusqu’au bout.

En tout cas, avec internet, le porno est très facilement accessible, gratuitement, en tout cas par rapport à avant où le porno était difficile d’accès.

Or cette addiction est tout aussi dangereuse que n’importe quelle autre addiction (drogue, alcool, jeuxvidéo, etc)

Elle nuit à la qualité de vie et constitue un frein au développement personnel aussi au développement physique, relationnel ET social….

En effet, regarder du porno crée beaucoup de problèmes qui affectent la santé mentale et physique des individus qui tombent dans ce piège.

Et même si on ne regarde du porno qu’occasionnellement, on peut subir, à long terme, les mêmes effets de l’addiction.

Donc oui, le porno est néfaste. C’est un fait réel.

Après chacun est libre de consommer ce qu’il veut, mais pour ma part, j’en veux pas.

La pornographie comporte des méfaits, non seulement physique, morale; mais aussi en terme d’énergie et de temps.

Mater des films de Q….Au lieu de faire un travail sur soi-même, de chercher des solutions pour trouver une partenaire, de mener tes projets, d’aller s’entraîner ou encore de trouver des méthodes sur comment être épanouie sans porno …

Au lieu de tout ça , on sera derrière ton écran , à visionner et fantasmer sur un autre couple autre que le sien, on fini par se vider en visionnant et en fantasmant sur un autre couple .

Ensuite frustré et ne plus être motivé à ne rien faire.

Être addict à la pornographie, ce n’est pas de notre faute, ni celle des autres…

Mais que le porno est une addiction très puissante qui agit directement sur notre cerveau au même niveau que la drogue et l’alcool.

Donc difficile de s’en passer.

C’est la raison pour laquelle, la première des choses à faire pour s’en sortir est de prendre conscience d’être addict à la pornographie, puis secondo de prendre connaissance des effets dévastateurs du porno.

Si tu es dans ce genre de cas, tu sais ce qu’il te reste à faire, chaque détail compte.

Bonne bataille à toi.

Chaque détail compte tu sais ce qu’il te reste à faire.

Bruno KhmerZ

Je partage mon expérience et mes connaissances personnelles sur certains domaines comme le racisme anti-asiatique, la préparation physique & mentale. Tout ceci dans l'objectif d'aider à surmonter les difficultés de la vie du quotidien en société et y faire face. -> Mes réseaux

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